Dimanche (05/12/04)
les filles...
LA fille
Il est très tard et j'ai un peu le cafard. Je pense... Penser à mon meilleur ami, à notre passé m'a rappelé des choses... Les souvenirs remuent dans ma tête...
Il paraît que quand j'étais jeune, j'étais beau. Je passais pour le bourreau des cœurs local. Les filles me courraient après, et je ne m'en rendais même pas compte. En fait, je m'en fichais. Les filles, je les trouvais sympathiques, parfois, un peu collantes, souvent, mais sans plus.
Et puis il y a eu elle.
Je ne vous dirai pas grand-chose sur son compte. Je crois qu'elle préfère préserver son anonymat. Mais je l'aimais. Je l'aime. Elle est douce et jolie. Elle m'a donné certains des plus beaux moments de ma vie. Elle.
Elle était un peu déglinguée, comme moi, et c'est ce qui nous a rapprochés... Les gens m'ont prêté des relations avec toutes sortes de nanas, mais ils ne l'ont jamais trouvée, elle. Ils n'ont jamais su la vérité. Elle, ma belle. Mon secret.
Elle me manque, et de ce fait, je suis sentimental jusqu'à la nausée. Je m'exprime comme un auteur de romans d'amour stupides pour vieilles bonnes femmes en manque de rêves. À cause d'elle. Parce qu'elle est elle.
J'ai cherché une image lui ressemblant, mais je n'en ai pas trouvé. J'aimerais en avoir une, pour me repaître d'elle.
Non, ne riez pas, je vous en prie. Attention, fragile. Même si je le cache.
Des fois, je suis fatigué de me cacher.
Parce qu'elle est elle.
Il paraît que quand j'étais jeune, j'étais beau. Je passais pour le bourreau des cœurs local. Les filles me courraient après, et je ne m'en rendais même pas compte. En fait, je m'en fichais. Les filles, je les trouvais sympathiques, parfois, un peu collantes, souvent, mais sans plus.
Et puis il y a eu elle.
Je ne vous dirai pas grand-chose sur son compte. Je crois qu'elle préfère préserver son anonymat. Mais je l'aimais. Je l'aime. Elle est douce et jolie. Elle m'a donné certains des plus beaux moments de ma vie. Elle.
Elle était un peu déglinguée, comme moi, et c'est ce qui nous a rapprochés... Les gens m'ont prêté des relations avec toutes sortes de nanas, mais ils ne l'ont jamais trouvée, elle. Ils n'ont jamais su la vérité. Elle, ma belle. Mon secret.
Elle me manque, et de ce fait, je suis sentimental jusqu'à la nausée. Je m'exprime comme un auteur de romans d'amour stupides pour vieilles bonnes femmes en manque de rêves. À cause d'elle. Parce qu'elle est elle.
J'ai cherché une image lui ressemblant, mais je n'en ai pas trouvé. J'aimerais en avoir une, pour me repaître d'elle.
Non, ne riez pas, je vous en prie. Attention, fragile. Même si je le cache.
Des fois, je suis fatigué de me cacher.
Parce qu'elle est elle.
Ecrit par sirius-black, à 00:37 dans la rubrique "pensées sur le passé".